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    Par Elisabeth Lampard

     

    J'entrais dans l'église ce matin là. J'étais toujours attirée par cette atmosphère paisible et mystérieuse , impressionnée par cette lumière sombre et cette odeur d'encens.

    J'avais appris par ma mère les bonnes manières de la vie courante, celles de dire bonjour, s'il vous plaît ou merci, celles aussi de saluer Monsieur le Maire, Monsieur l'instituteur ou Monsieur le Curé dans les rues du village. J'aimais beaucoup rencontrer Monsieur le Curé, toujours élégant dans son habit noir, son livre de prières à la main, il répondait à mon bonjour avec un beau sourire.

    Il était là agenouillé face au maître autel, entouré de murmures imperceptibles. Je m'étais approché en silence mais le seul bruit de mes souliers avait troublé l'instant, il tourna vers moi un regard surpris mais aussitôt éclairé par son sourire

    • Eh bien Elisabeth que fais tu de si bon matin dans la maison de Dieu ?

    • Ho rien Monsieur le curé, j'étais juste venu pour regarder.

    • Et qu'as tu à regarder ?

    • Les statues, les tableaux, je regarde souvent l'église chaque dimanche au moment de la messe, parce que vous savez, je viens tous les dimanches

    • Oui je le sais bien, je t'y vois, je te vois même communier mais es tu confessée ?

    • Non, Monsieur le Curé, pas depuis ma communion solennelle

    • Sais tu que c'est un péché de communier sans confession ? Il te faut le faire immédiatement

    • Oui, Monsieur le Curé

    • Je vais donc te confesser, ma fille.

    L'homme se redressa et me regarda longuement, je fixais intensément le bout de mes chaussures, l'instant me semblait interminable. Il m'invita d'un geste à traverser la nef jusqu'au confessionnal. J'avais toujours eu peur du confessionnal, la « cabane » comme je l'appelais , j'y voyais ces dames vêtues de noir agenouillées devant la grille et les pieds du curé dépassant du rideau. Ce fut mon tour de m'agenouiller sur la planche de bois et de voir son visage de l'autre coté de la grille. J'étais tremblante et désespérée

    • Au nom du père, du fils et du saint esprit.

    • Ainsi soit il

    • Alors ma fille as tu péché ?

    • Je ne sais pas mon père

    • N'as tu jamais menti ou désobéi ou n'as tu jamais eu de mauvaises pensées ?

    • Non mon père, je ne pense pas

    • Quel âge as tu maintenant ?

    • Je vais sur mes quinze ans, mon père

    • Et te sens tu parfois devenir une femme ?

    • Oui mon père, je suis une femme, j'ai des seins

    Je sentis l'homme tressaillir, il eu un long moment de silence, il pencha la tête et se redressa presque aussitôt. Sa voix aussi avait changé, plus rauque et plus saccadée.

    • Et n'aurais tu pas péché en tant que femme, ma fille ?

    Je sentais à présent son regard de braise à travers la grille, mon cœur cognait dans ma gorge sèche. Avait il lui aussi ce pouvoir divin de tout connaître et de tout savoir ?

    • Oui mon père, j'ai péché.......

    • Et quel est donc ce péché de femme, ma fille ?

    • J'ai regardé dans le pantalon de William, le fils du menuisier et j'ai touché son sexe.

    • Continue ma fille

    • William a baissé son pantalon, sa verge était grosse et dure, je l'ai touché et caressé longtemps, il guidait ma main avec la sienne, de plus en plus vite et fort et j'ai reçu son jet sur le visage

    • C'est un acte très grave que tu as accompli là, ma fille. Sais tu que ce geste était réservé a ton mari pour le soir de vos noces ? As tu pris le sexe de William dans ta bouche ?

    • Non, mon père

    Je l'entendis se lever et il vint se placer devant moi non sans être passé d'abord fermer la porte de l'église

    • Ton mari te demandera de sucer son pénis, Elisabeth, et tu dois savoir t'exécuter pour le satisfaire il faut que tu t'y prépare dès maintenant

    • Oui mon père

    L'homme sortit de son pantalon une énorme verge blanche et dure avec laquelle il caressa mon visage, il me demanda de la saisir et l'approcha de ma bouche. Il l'enfonça doucement, la ressortit puis l'enfonça à nouveau, il recommença plusieurs fois en me tapotant la joue et poussant son sexe toujours plus loin, je laissais s'accomplir les va et vient sans mot dire et sans bouger

    • Il faut que tu la suces Elisabeth, ouvre bien ta bouche et referme la lorsque elle entre, suces la bien, comme un bonbon, sans éprouver de honte, ton mari te rendra grâce de ta soumission

    Le calvaire dura cinq bonne minutes, parfois l'homme la ressortait, relevait ma tête en me tenant par le menton et la rentrait à nouveau, invitant ma main a caresser ses bourses. Il palpait mes seins sur mon chandail, s'amusant à en pincer les pointes. Je sentais malgré moi durcir mes tétons et suçais avec application comme il me l'avais demandé. Je sentis enfin un dernier soubresaut puis les jets chauds et gluants au fond de ma gorge, je cherchais vainement à me libérer mais la main tenant ma tête était ferme et puissante et je n'eus d'autre solution que de tout avaler. L'étreinte enfin se libéra, doucement, laissant mes lèvres humides et souillées.

    • Tu es maintenant prête, ma fille, mais le pardon de ce péché doit se faire par le châtiment.

    Il s'assit sur une chaise et me coucha sur ses genoux, releva ma jupe et baissa ma culotte, il me caressa un instant ainsi découverte puis sa main gauche vint se placer devant ma bouche tandis que la droite s'abattit avec force sur mes fesses. Sa main étouffa mon cri, puis un second coup claqua, puis un autre, et encore un autre

    • Répète après moi Elisabeth . Pardonnez moi mon père parce que j'ai péché

    • Pardonnez moi mon père parce que j'ai péché

    Je répétais plusieurs fois cette demande accompagnée par les claques puissantes jusqu'à ne plus sentir mes fesses. Enfin il s'arrêta, je sanglotais doucement sur ses genoux, puis il glissa sa main entre mes cuisses, caressant mon intimité

    • Tu es maintenant purifiée, ma fille, as tu ressenti du plaisir ?

    • Non, mon père.

    • En es tu sûre ? Tu dois dire la vérité !

    • Oui, mon père, je ne sens que le feu sur mes fesses et la honte sur mon visage.

    • Tu ment Elisabeth, oui tu as eu du plaisir, tes cuisses sont chaudes et ta culotte est toute mouillée. C'est une faute grave que d'avoir le plaisir de ta punition et tu dois la réparer tout de suite.

    Il m'aida à me relever puis m' agenouilla à nouveau sur la planche du confessionnal. Je l'entendis s'éloigner puis revenir tenant dans sa main une fine baguette de noisetier, il retira complètement ma culotte et la plaça en boule dans ma bouche. La baguette caressait maintenant mes fesses chaudes, puis elle siffla et le coup claqua , brûlant et cruel. L'étoffe dans ma bouche étouffa mon cri mais je sentit à nouveau jaillir mes larmes, le second coup fut encore plus mordant, m'arrachant un nouveau gémissement. Je subis ainsi plusieurs coups, toujours plus cinglants qui me laissèrent meurtrie et sans forces puis j'entendis mon bourreau souffler à mon oreille

    • Je t'écoute, ma fille

    • Pardonnez moi mon père parce que j'ai péché

    • Te voilà enfin libérée et prête ma fille, vas en paix, tu sera une bonne épouse fidèle et obéissante et garde tout ceci comme un secret avec le seigneur

    L'homme retourna ouvrir la porte de l'église et s'éloigna vers la sacristie me laissant seule. Je remis péniblement ma culotte sur mes fesses dévastées et je pu enfin sortir. L'air frais de la place m'assaillit, je me dirigeais vers la fontaine et m'abreuvais longuement d'eau fraîche, m'aspergeant le visage …....... Ainsi se terminait cette matinée d'octobre dans l'ombre de l'église et la lumière de ce matin d'automne.

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